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01-05-2002

Les allergies

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, les allergies se situent au sixième rang des maladies dans le monde. Les allergies respiratoires sont les plus courantes avec 10 à 20% de la population française souffrant de rhinite allergique et 2,5 millions de personnes asthmatiques. Les allergies cutanées peuvent provoquer un eczéma atopique ou dermatite atopique, un eczéma de contact, de l'urticaire ou un oedème de Quincke. Depuis quelques années, le nombre de personnes souffrant d'allergies alimentaires est en augmentation constante et elles touchent aujourd'hui 3 à 10% des Français. Le meilleur traitement des allergies est, bien sûr, d'éviter les allergènes qui en sont responsables, mais ce n'est pas toujours possible. Pour soulager les symptômes des allergies, il existe un grand nombre de médicaments et certains d'entre eux produisent des effets secondaires. Des suppléments nutritionnels et des extraits de plante peuvent concourir à prévenir les allergies et à soulager certains de leurs symptômes.
Les mécanismes de l'allergie

Les allergies sont des réactions immunitaires anormales à l'encontre de protéines particulières connues sous le terme d'antigène ou d'allergène. Il peut s'agir d'un aliment, d'une particule en suspension dans l'air comme du pollen ou un poil d'animal, d'un médicament, d'acariens ou du venin de certains insectes.
Notre corps est protégé des agressions extérieures par la peau et les muqueuses (des voies respiratoires et digestives). Pour qu'il y ait allergie, il faut que ces barrières de protection aient été franchies par l'allergène. Ensuite, notre corps l'identifie comme adversaire. La première fois que l'allergène pénètre dans le corps par la peau, les voies respiratoires ou digestives, il est pris en charge par des cellules du système immunitaire qui enregistrent toutes ses caractéristiques.

 

Ensuite, si cet allergène est à nouveau introduit dans l'organisme, les cellules immunitaires le reconnaissent et déclenchent une allergie en activant des anticorps et/ou des cellules spéciales, les mastocytes, qui sécrètent de l'histamine.
Les réactions allergiques peuvent se traduire par différents symptômes comme ceux d'une rhinite allergique, de l'asthme, de l'eczéma, de l'urticaire voire, dans les formes les plus graves, par des manifestations comme un choc anaphylactique ou un œdème de Quincke (réaction inflammatoire soudaine et violente accompagnée de sensations d'étouffement), mettant en jeu le pronostic vital et nécessitant une intervention médicale urgente.

Une libération rapide d'histamine

Une réaction allergique est le résultat d'une libération rapide d'histamine par des cellules immunitaires, les mastocytes ou les polynucléaires basophiles. A la suite d'une stimulation par un allergène, quel que soit le mode de contact, inhalation, touché ou ingestion, l'enzyme calcium ATP-ase est activée, pompe le calcium dans les cellules stimulant ainsi la libération d'histamine qui voyage à travers le corps et débute une chaîne d'événements pouvant éventuellement conduire aux symptômes de l'allergie : écoulement nasal, éternuements, larmoiement des yeux, démangeaisons, urticaire,…
Il existe un grand nombre de médicaments pour soulager ceux qui souffrent d'allergies. Cependant, la plupart d'entre eux, sinon tous, produisent des effets secondaires déplaisant comme la bouche sèche, des nausées ou une somnolence. Ces médicaments agissent en bloquant les récepteurs à histamine sur les autres cellules et non en bloquant la libération initiale d'histamine.

Des acides gras polyinsaturés Omega-3 et Omega-6

Pris ensemble, les acides gras polyinsaturés Omega-3 et Omega-6 ont une action anti-inflammatoire. Certains acides gras Omega-6 ont un effet pro-inflammatoire qui se traduit par une sur-production d'acide arachidonique mais qui est bloqué par les Omega-3. Ils doivent donc être pris en même temps.
L'acide gras polyinsaturé Omega-3 le plus puissant est l'AGL ou acide gamma-linolénique que l'on trouve dans l'huile de bourrache, d'onagre ou de pépins de raisin de Corinthe. C'est l'huile de bourrache qui en fournit les plus fortes concentrations. La prise d'AGL doit être équilibrée par celle d'une double dose d'acides gras essentiels EPA (acide eicosapentaenoïque) et DHA (acide docosahexaenoïque) que l'on trouve dans les huiles de poissons gras, de graines de lin ou de périlla.

Notre alimentation contient souvent beaucoup plus d'acides linoléiques (Omega-6) que d'acide alpha-linolénique (Omega-3). Cette disproportion altère les phospholipides de la membrane cellulaire et, dans le cas de maladie atopique, augmente la possibilité d'une réponse inflammatoire telle que démangeaisons intenses, formation de croûtes ou excoriations. (L'atopie signifie une prédisposition héréditaire à une hypersensibilité aux antigènes de l'environnement. De telles affections incluent la rhinite allergique et, à un moindre degré, l'asthme bronchique, la dermatite de contact et les allergies alimentaires). Une étude a conclu que les acides gras polyinsaturés pouvaient jouer un rôle clé dans la gestion de l'inflammation qui se produit dans les maladies atopiques.
Une étude a montré qu'une pommade contenant du DHA, de l'EPA et des acides gras Omega-3 produisait des résultats satisfaisants chez 64 patients souffrant de dermatite réfractaire (Watanabe et al. 1999). Une autre étude a impliqué 135 enfants avec des maladies allergiques et a montré que l'administration d'un supplément contenant des acides gras Omega-3 avait pour résultat des membranes cellulaires plus saines. Les évaluations cliniques ont montré que le maintien de l'intégrité de la membrane diminuait le nombre d'attaques allergiques contre les enfants (Gorelova et al. 1999).
Une autre étude a examiné des enfants âgés de trois mois et l'alimentation de leur mère pour évaluer l'effet des acides gras dans l'alimentation. L'étude a montré que les enfants ayant des allergies avaient moins de GLA (acide gamma-linolénique) dans leurs phospholipides sériques que les enfants en bonne santé. Elle a également indiqué que les mères en bonne santé et les mères allergiques avaient la même quantité d'acides gras dans leur alimentation mais que les mères allergiques avaient moins de GLA dans leur lait (Kankaanpaa et al. 2001). Ces résultats semblent suggérer que les femmes allergiques qui allaitent leur enfant devraient prendre des suppléments de GLA.

Les flavonoïdes

Dès les années 50, des études ont montré que les flavonoïdes pouvaient prévenir la libération de l'histamine et inhiber la réaction anaphylactique. Une des premières études a examiné différents niveaux du flavonoïde naturel rutine, combiné à un médicament anti-histaminique. 70% des sujets ont rapporté une atténuation plus importante des symptômes de l'allergie (éternuements, larmoiement des yeux, démangeaisons) lorsqu'ils prenaient le flavonoïde avec le médicament que lorsqu'ils prenaient le médicament seul1. Dans une étude ultérieure, le baicaline (un flavonoïde utilisé par la médecine traditionnelle chinoise pour traiter l'allergie et l'inflammation) a été donné par voie orale à des cochons d'Inde. Après le traitement par le flavonoïde, l'asthme a été chimiquement induit. Chez les animaux pré-traités avec le flavonoïde, les symptômes étaient beaucoup plus atténués que chez ceux qui ne l'avaient pas été.
Des études in vitro sur cultures cellulaires ont été réalisées pour déterminer de quelle façon les flavonoïdes atténuaient les symptômes de l'allergie et de l'asthme. Dans une étude, des mastocytes ont été traités avec sept flavonoïdes différents incluant la quercétine et des catéchines. La libération de l'histamine a été induite chimiquement. Tous les flavonoïdes testés ont montré un certain effet protecteur contre la libération de l'histamine en prévenant l'absorption du calcium dans les cellules. Des résultats similaires ont été obtenus sur des basophiles traitées avec la quercétine, chimiquement similaire au dérivé synthétique Cromolyn. La quercétine inhibait efficacement la libération de l'histamine par ces cellules, même à faibles doses2. Bien que le mécanisme exact par lequel les flavonoïdes empêchent le calcium de pénétrer dans les cellules soit encore discuté, on pense que les flavonoïdes peuvent inhiber l'enzyme phosphodiestase cyclique AMP. Cela provoque une augmentation des niveaux de la phosphodiestase AMP cyclique et prévient la libération de l'histamine3.

Les flavonoïdes exercent également leurs effets protecteurs par d'autres moyens. Ils inhibent la lipoxygénase, la substance stimulant la biosynthèse des leucotriènes qui jouent un rôle important dans l'hypersensibilité aux allergènes tout comme dans la médiation des symptômes de l'asthme4. Certains flavonoïdes inhibent également la peroxydation de l'acide arachidonique. Celui-ci est un précurseur des prostaglandines, des substances impliquées dans les réponses inflammatoires et allergiques. Les catéchines sont parmi les inhibiteurs les plus puissants de la synthèse des prostaglandines.

La quercétine

La quercétine est un flavonoïde issu de la rutine que l'on trouve en abondance dans un grand nombre d'herbes, de fruits et de légumes. La quercétine inhibe le processus inflammatoire attribué à des neutrophiles activés en stabilisant la membrane ainsi que par un puissant effet antioxydant et par l'inhibition de l'enzyme hyaluronidase (qui prévient la cassure de la matrice du collagène). La stabilisation de la membrane a pour résultat de prévenir la dégranulation des mastocytes et des basophiles et de diminuer l'inflammation par l'inhibition de la production de leucotriènes et de la sécrétion de l'enzyme lysosomale des neutrophiles.
La quercétine semble agir comme un antihistaminique et a également des propriétés anti-inflammatoires. Des études in vitro ont en effet montré qu'elle empêche certaines cellules immunitaires de libérer de l'histamine5.
Dans une étude japonaise sur des mastocytes provenant du mucus nasal de sujet ayant une rhinite allergique péri-annuelle, la quercétine inhibait nettement la libération de l'histamine stimulée par antigènes. L'effet de la quercétine était pratiquement deux fois plus important que celui du cromoglycate de sodium à même concentration6.

La N-acétylcystéine

La N-acétylcystéine (NAC) est un dérivé d'acide aminé contenant du sulfure qui détoxifie et protège les cellules et les composants cellulaires contre le stress oxydant. La NAC est un agent mucolytique chez des individus ayant une bronchite chronique, une mucoviscidose, de l'asthme, une sinusite ou une pneumonie. On a montré que 200 mg de NAC administrés deux fois par jour diminuent les symptômes de la bronchite chronique7. La NAC réduit la viscosité du mucus et facilite l'expectoration8 en convertissant les liaisons disulfides des mucoprotéines en liaisons sulfhydryl et en clivant les mucoprotéines en molécules plus petites. Bien qu'aucune recherche spécifique n'ait été faite sur l'utilisation de la NAC dans la rhinite allergique, son affinité avec la membrane mucosale à la fois comme antioxydant et mucolytique, fait qu'elle pourrait faire partie du protocole de traitement de cette affection.

La Vitamine C et la vitamine E

On a montré que la vitamine C exerce un certain nombre d'actions sur l'histamine. Il semble qu'elle prévient la sécrétion de l'histamine par les globules blancs et augmente leur détoxification9. Les niveaux d'histamine augmentent de façon exponentielle lorsque les niveaux plasmatiques de vitamine C diminuent10.
Dans une étude sur l'efficacité de vitamine C intra-nasale, 48 sujets ont reçu une solution d'acide ascorbique ou un placebo en pulvérisations nasales trois fois par jour. Après deux semaines, chez 74% des sujets traités avec la solution d'ascorbate, on constatait une diminution des sécrétions et de l'obstruction nasales et de l'œdème. L'amélioration a également été observée chez 24% des sujets sous placebo. Le pH des sécrétions nasales des patients souffrant de rhinite allergique semble être plus alcalin que celui de patients en bonne santé. Après l'administration de vitamine C, les patients ayant un pH nasal proche de 8 (la normale se situant entre 5,5 et 7) semblent avoir répondu plus favorablement au traitement à la vitamine C11.

Une étude a examiné le rôle de la vitamine E dans l'asthme et les allergies. La vitamine E, de manière dose dépendante, inhibe l'activation des récepteurs des neutrophiles qui, chez un asthmatique, a pour résultat la synthèse de leucotriènes, une classe de composants biologiques produisant des réactions allergiques et inflammatoires similaires à celles provoquées par l'histamine.

Une étude conduite par le Dr Carole Trenga de l'Ecole de Santé Publique et de Médecine Communautaire de l'Université de Washington, à Seattle aux Etats-Unis, a montré qu'une supplémentation en vitamines C et E pouvait avoir un effet bénéfique sur des patients asthmatiques.

Au cours de l'étude, 17 patients ont reçu quotidiennement pendant cinq semaines 400 UI de vitamine E et 500 mg de vitamine C et, au cours des cinq semaines suivantes, un placebo. A la fin de chaque période de cinq semaines, les patients ont été exposés à de l'air contenant de l'ozone pendant 45 minutes, puis pendant deux fois dix minutes à du dioxyde de soufre. Par rapport à la période sous placebo, les tests ont montré une amélioration importante de la fonction pulmonaire après cinq semaines de supplémentation.

Chez cinq sujets identifiés comme étant particulièrement sensibles au dioxyde de soufre, le débit respiratoire de pointe était augmenté de 5% lorsqu'ils étaient exposés au dioxyde de soufre après la période de supplémentation alors que cette même mesure chutait de 13% après la phase sous placebo. Cette étude montre ainsi qu'une supplémentation, même de courte durée avec des nutriments antioxydants, améliore la fonction pulmonaire. La vitamine E liposoluble et la vitamine C hydrosoluble agissent en synergie pour renforcer les défenses antioxydantes des poumons.

Bromelaïne

La bromelaïne est une enzyme protéolytique dérivée de la tige de l'ananas. Son activité est maximum à un pH entre 5 et 8. On a montré que la bromelaïne est un agent mucolytique efficace dans les maladies du système respiratoire.

Les lésions des tissus stimulent le système de la kinine (des polypeptides libérés dans le plasma sanguin), du complément, du système fibrinolytiques (qui dissout la fibrine et les caillots sanguins) ainsi que celui de la coagulation. Le rôle de la fibrine dans la réponse inflammatoire est de former une matrice qui «séquestre» la zone inflammatoire aboutissant à un refoulement de la circulation nutritive, à un drainage inadapté des tissus avec, pour conséquence, un œdème. Des kinines, comme la kallidine et la bradykine dont le rôle est d'augmenter la perméabilité vasculaire, sont libérées provoquant œdème et douleur. La bromelaïne s'oppose à la fibrine et aux kinines en stimulant la production de plasmine ou fibrinolysine, avec pour résultat une diminution de l'œdème et de l'inflammation associés à la rhinite allergique.

Urtica dioica (ortie)

Les poils urticants des feuilles d'ortie contiennent de l'histamine, de la sérotonine et de l'acétylcholine. L'ortie contient également des glucoquinones et de la chlorophylle. Bien qu'il n'y ait pas de substance botanique connue avec un mécanisme d'action identique à celui des antihistaminiques pour traiter les rhinites allergiques, de récentes recherches montrent que l'extrait d'ortie agit de la même façon que les antihistaminiques.

Une étude randomisée en double aveugle a utilisé 300 mg d'extrait d'Urtica dioica dans le traitement de la rhinite allergique. 69 patients sont allés jusqu'au bout de l'étude et ont trouvé le traitement globalement plus efficace que le placebo. 58% l'ont évalué efficace à soulager les symptômes et 48% d'entre eux l'on trouvé aussi efficace ou plus efficace que leur précédant traitement12. Les anti-histaminiques étant utilisés dans le traitement de l'allergie pour s'opposer à l'histamine, à la sérotonine et à l'acétylcholine, il semble contradictoire qu'une plante contenant ces médiateurs puisse être utilisée dans le traitement de l'allergie. Cependant, l'histamine agit également comme un autocoïde (une hormone locale) pour moduler la réponse immunitaire13. Des injections sous-cutanées ou intraveineuses d'histamine ont été utilisées efficacement pour traiter de nombreuses pathologies allergiques incluant maux de tête, migraines associées à des rhinites vasomotrices, des réactions à la pénicilline ou de l'arthrite allergique.

Reishi mushrooms (Ganoderme lucidum)

Dans les années 70 et 80, l'action antiallergique et anti-inflammatoire des flavonoïdes est devenue le sujet de nombreuses recherches en Chine et au Japon. Des études ont montré que l'extrait de Reishi mushrooms inhibe quatre types de réactions allergiques incluant des effets positifs sur l'asthme et la dermatite de contact.

Le magnésium

Le stress joue un rôle important dans le déclenchement des réactions allergiques. Le magnésium est important pour la gestion de toutes les formes de stress. Lorsque les niveaux de magnésium diminuent, l'incidence des crises d'allergie et d'asthme augmente.


1 Schoenkerman et al. Effect of flavonoïd substances on histaminic toxicity, anaphylactic shock and histamine-enhanced capillary permeability to dye. J Allergy 21: 133-47,1950.
2 Middleton E Jr et al. Quercetin : an inhibitor of antigen-induced human basophile histamine release. J Immunol 127 (2):546-50, 1981.
3 Beretz A et al. Flavonoid compounds are potent inhibiters of cyclic AMP phosphodiestase, Experentia 34 :1054-55, 1978
4 Middleton E, Effects of flavonoids on immune and inflammatory cell functions. Biochem Pharmacol 43:1167-79, 1992.
5 Ogasawara H et al : Effect of selected flavonoids on histamine release and hydrogen peroxide generation by human leukocytes {abstract} J Allergy Clin Immunol. 1985;75(suppl):184.
6 Otsuka H et al. Histochemical and functional characteristics of metachromic cells in the nasal epithelium in allergic rhinitis : studies of nasal scrapings and their dispersed cells. J Allergy Clin Immunol 1995;96:528-536.
7 Long term oral acetylcysteine in chronic bronchitis : a double-blind controlled study. Eur Respir Dis Suppl 1980;111:93-108.
8 Sheffner A. The reduction in vitro in viscosity of mucoprotein solution by a new mucolytic agent, n-acetyl-l-cysteine. Ann. N Y. Acad Sci 1963;106:298-310.
9 Murray MT. A comprehensive review of vitamin C. Amer J Nat Med. 1996;3:8-21.
10 Clemetson CA. Histamine and ascorbic acid in human blood. J Nutrition 21980;110:662-668
11 Podoshin L et al. Treatment of pernnial allergic rhinitis with ascorbic solution. Ear Nose Throat J 1991;70:54-55.
12 Mittman P. randomized, double-blind study of freeze-dried urtica dioica in the treatment of allergic rhinitis. Planta Med 1990;56:44-47
13 Melmon KL et al, Autocoid as modulators of the inflammatory and immune response, AM J Med 1981 ;71 :100-106
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