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01-11-2005

La canneberge, une solution naturelle aux infections urinaires

La canneberge est utilisée depuis des années pour prévenir les infections urinaires. Elle est particulièrement riche en polyphénols (anthocyanes, flavonoïdes, proanthocyanidines), de puissants antioxydants ayant de nombreux effets bénéfiques sur la santé. Des études scientifiques suggèrent qu'elle pourrait également avoir des effets bénéfiques dans le cas d'infection par Helicobacter pylori, qu'elle pourrait diminuer le risque de maladies cardio-vasculaires ou freiner la croissance des cellules cancéreuses.


La canneberge (Vaccinium macrocarpon) est un arbuste à feuilles persistantes qui pousse dans les tourbières de l'est de l'Amérique du Nord et au Canada. On l'appelle aussi grande airelle rouge.

Les Amérindiens consommaient ses fruits sauvages et rares qu'ils appelaient « atoka ». Ils appréciaient ses effets bénéfiques pour désinfecter les plaies, sur les problèmes de vessie et des reins ou pour l'hygiène bucco-dentaire.

Les Amérindiens ont fait découvrir la canneberge aux premiers colons et navigateurs transatlantiques. Sa concentration en vitamines et en substances antioxydantes, alliée à une exceptionnelle capacité de conservation, a permis aux marins de la Nouvelle Angleterre de lutter contre le scorbut.

Dès le milieu du XIXe siècle, des médecins allemands contribuèrent à répandre dans le monde moderne l'usage médicinal de la canneberge pour prévenir et traiter la cystite. En 1920, des chercheurs ont remarqué que boire du jus de canneberge rendait les urines plus acides. Comme les infections fréquentes du système urinaire par des bactéries comme Escherichia coli n'aiment les environnements acides, ils en ont déduit qu'ils avaient découvert l'explication scientifique de l'usage traditionnel de la canneberge. Cette découverte a conduit à généraliser l'usage médical du jus de canneberge dans le traitement des infections urinaires. Il perd la faveur des médecins après la seconde guerre mondiale avec la généralisation de l'emploi des antibiotiques de synthèse. C'est dans les années 1960 que l'on a recommencé à s'intéresser aux vertus médicinales des baies de la canneberge.

Les infections du système urinaire


Les infections du système urinaire sont fréquentes, douloureuses, perturbantes et se produisent plus souvent chez les femmes. La bactérie responsable de plus de 85 % de ces infections est Escherichia coli. Les infections du système urinaire sont en général traitées par des antibiotiques. La virulence et la fréquence de ces infections ont renforcé l'intérêt pour la recherche sur le rôle joué par le jus de canneberge dans leur prévention.

L'urine est normalement stérile. Pour que cette maladie apparaisse, il faut donc qu'un micro-organisme pathogène entre d'abord dans l'urètre et adhère ensuite au tissu de l'hôte. Une fois attachée, la bactérie est capable de proliférer et, ensuite, de provoquer les symptômes cliniques de l'infection. Différentes adhésines situées sur la surface des cellules des organismes pathogènes influencent la fixation des glycoprotéines ou glycolipides complémentaires sur le tissu de l'hôte. On trouve les adhésines sur des structures microscopiques comparables à des cheveux, appelées pili, qui forment des liaisons avec le récepteur cellulaire du site de l'hôte. Chez les bactéries responsables des infections urinaires, ces liaisons sont suffisamment fortes pour résister à l'action nettoyante du flux urinaire.

Inhibition de l'adhérence bactérienne

Les premières recherches sur la possibilité que le jus de canneberge puisse inhiber l'adhérence bactérienne ont été réalisées en 1984. Des chercheurs ont recueilli 77 isolats d'E. coli démontrant l'adhérence à des cellules uroépithéliales, obtenus de femmes n'ayant pas eu d'infection urinaire. L'inhibition de l'adhérence a ensuite été testée en utilisant trois préparations différentes de jus de canneberge : un cocktail de jus de canneberge avec environ 33 % de jus, un concentré de canneberge et du jus de fruit frais. Les données issues de cette étude in vitro suggèrent que le jus de canneberge contient un ou des facteurs inhibant l'adhérence d'E. coli aux cellules épithéliales en interférant avec un composant à la surface de la bactérie. Les jus de canneberge échantillonnés ont inhibé l'adhérence à un niveau statistiquement satisfaisant jusqu'à une dilution de 1 pour 100, le jus non dilué, quant à lui, ayant une action inhibitrice supérieure à 97 %. L'étude a également établi que le facteur responsable des propriétés antiadhérantes du jus de canneberge survit au métabolisme normal de l'homme et de la souris pour être recueilli dans l'urine. Des échantillons d'urine d'hommes et de souris ayant ingéré du jus de canneberge ont significativement perturbé l'adhérence par rapport à des sujets témoins1.



Diminution du nombre de bactéries

Depuis 1994, des études scientifiques dirigées par l'École médicale de Harvard à Boston ont montré que la consommation régulière de canneberge réduisait l'incidence des bactéries dans l'urine des femmes. Dans la première étude randomisée, en double aveugle contrôlée par placebo, 153 femmes ont été réparties en deux groupes de façon aléatoire, l'un recevant du jus de canneberge et l'autre un placebo. Au bout de six mois, les résultats ont montré que les buveuses de jus de canneberge avaient eu moins d'infections bactériennes que celles prenant un placebo. Les échantillons d'urine des femmes buvant du jus de canneberge ont montré une diminution de 25 % des bactéries positives par rapport au groupe placebo2. Cette diminution a commencé dès le premier mois de l'étude.

Un peu plus tard, une plus petite étude croisée, randomisée sur des femmes sexuellement actives âgées de 18 à 45 ans, a utilisé 800 mg d'une préparation solide de canneberge. Elle a constaté une diminution statistiquement significative de la récurrence des infections du système urinaire pour les participantes prenant le supplément à base de canneberge3. En 2001, des chercheurs finlandais ont examiné les effets préventifs d'un jus concentré de canneberge. Les sujets ont été recrutés dans cette étude après avoir été traités pour une infection du système urinaire causée par E. coli. Pendant les six mois de l'étude, 50 femmes buvant 50 ml par jour de concentré de jus de canneberge ont vu leur risque maximum de développer une infection urinaire diminuer de 20 % par rapport à celles prenant un placebo4. Plus récemment, la consommation de 250 ml de pur jus non sucré de canneberge, ou celle de comprimés de concentré de canneberge, a réduit d'au moins 12 % la survenue d'infections par rapport aux sujets sous placebo5.

Les actifs responsables de l'activité antiadhésive

 
Dans l'objectif d'identifier les composants actifs responsables de l'effet antiadhésif bactérien de la canneberge, une équipe de chercheurs a isolé un groupe distinct de composants de la canneberge. Il s'agissait d'un type particulier de tannins concentrés, des proanthocyanidines de type A (PAC), que l'on ne trouve que dans la canneberge. Ils étaient responsables de la destruction des adhésines des bactéries et plus particulièrement de la bactérie Escherichia coli.

En se fixant sur l'extrémité des filaments d'adhésines, les PAC de la canneberge empêchent les bactéries de s'accrocher aux parois internes de l'organisme, préliminaire indispensable à l'expression de leur pathogénicité. Les bactéries sont alors simplement éliminées avec la miction.

Des PAC de type A isolées d'un cocktail de jus de canneberge provoquent in vitro une activité antiadhésion à 60 µg/ml, des PAC de type B provenant de raisin montrent une activité mineure à 1 200 µg/ml alors que d'autres PAC de type B n'en avaient aucune. Dans les urines humaines, une activité antiadhérence a été détectée après la consommation d'un cocktail de jus de canneberge, mais pas après l'absorption de produits alimentaires ne contenant pas de canneberge. Ces résultats suggèrent que la présence d'une liaison de type A dans les PAC de canneberge pourrait stimuler les activités d'antiadhérence bactérienne et aider à maintenir le système urinaire en bonne santé6.

Une protection contre les E. coli résistantes aux antibiotiques


Inquiets de la résistance croissante aux antibiotiques des bactéries E. coli, les chercheurs ont concentré leur attention sur la recherche de moyens susceptibles de prévenir et de soulager les symptômes des infections du système urinaire. Une récente étude a observé que les urines provenant de femmes qui buvaient 250 ml par jour d'un cocktail de jus de canneberge prévenaient l'adhérence de 80 % des isolats d'E. coli 39 fimbriae P testés et de 79 % de 24 souches résistantes aux antibiotiques.

Canneberge et santé cardio-vasculaire

 
Une étude de 20 semaines a porté sur 30 hommes âgés de 18 à 70 ans légèrement en surpoids, ayant un cholestérol LDL élevé et ne prenant pas de médicament. On leur a donné quotidiennement un cocktail de jus de canneberge pauvre en calories. À la fin de l'étude, les niveaux de « bon » cholestérol, le HDL, avaient augmenté de 8 % en moyenne. Les chercheurs de l'université de Laval au Canada en ont conclu que ces résultats pouvaient suggérer que la consommation régulière d'un cocktail de canneberge pauvre en calories pourrait être bénéfique pour la santé cardio-vasculaire.

Canneberge et vaisseaux sanguins endommagés

 
Des études avaient montré qu'en stimulant les niveaux bénéfiques du HDL, le jus de canneberge pouvait promouvoir la santé cardio-vasculaire. Le Dr Kris Krus-Elliot de l'École de médecine vétérinaire de l'université du Wisconsin a présenté des preuves que l'extrait de canneberge pourrait aider à réduire le risque de développer une maladie cardio-vasculaire et à protéger d'une crise cardiaque ou d'un accident cérébro-vasculaire les personnes ayant déjà une athérosclérose.

Dans leur étude, le Dr Kris Krus-Elliot et son équipe ont utilisé une race de cochons comme modèle animal de cholestérol familial élevé. Les vaisseaux sanguins des animaux ne fonctionnaient pas normalement ; les cochons développaient une athérosclérose à un âge généralement prématuré. Cet enchaînement d'événements est similaire à la progression, chez l'homme, de la maladie cardio-vasculaire.

Les animaux ont été nourris pendant six mois avec une dose quotidienne de poudre de jus de canneberge (150 g de poudre par kg de poids corporel). À la fin de l'étude, les cochons ayant un cholestérol élevé qui ont été supplémentés en canneberge ont montré un fonctionnement des vaisseaux sanguins plus semblable à celui d'animaux normaux. Les cochons avec un cholestérol élevé qui n'ont pas été supplémentés avaient une relaxation vasculaire significativement moins importante que des cochons normaux ou supplémentés avec de la canneberge.

Le Dr Krus-Elliot a ainsi commenté ces résultats : « Un fonctionnement anormal des vaisseaux sanguins étant une composante importante de la maladie cardio-vasculaire, trouver un moyen de l'améliorer chez des patients avec un cholestérol élevé et de l'athérosclérose est particulièrement important pour les protéger de conséquences comme une crise cardiaque ou un accident cérébral vasculaire7. »

La canneberge contre Helicobacter pylori


Une des premières causes d'ulcères gastriques est une infection bactérienne provoquée par Helicobacter pylori, que l'on trouve chez pratiquement 50 % de la population. Avant que les porteurs de la bactérie ne montrent des signes d'infection, il faut qu'Helicobacter pylori traverse la couche protectrice mucosale gastrique et qu'elle adhère aux cellules épithéliales sous-jacentes. Des scientifiques suggèrent que pour prévenir l'infection, la bactérie devrait être enlevée des cellules mucosales de cette couche protectrice, l'environnement le plus probable pour servir de refuge aux bactéries chez des sujets asymptomatiques.

Compte tenu des propriétés antiadhésives montrées par la canneberge avec E. coli, des chercheurs ont étudié l'effet de matériel non dialysable de poids moléculaire élevé provenant de canneberge dans des études in vitro d'adhérence utilisant trois souches d'H. pylori avec une spécificité pour les cellules gastriques mucosales humaines. Les résultats ont montré que ce matériel inhibait l'adhérence spécifique à l'acide sialique à la muqueuse gastrique humaine de façon dose et souche dépendante. Comme les chercheurs l'espéraient, une inhibition significative de l'adhérence est apparue lorsque les souches d'H. pylori ont été incubées avec le matériel provenant de la canneberge mais pas lorsque le mucus seul était pré-incubé ni lorsque le matériel provenant de la canneberge était ajouté après que les bactéries ont adhéré au mucus8.

Plus récemment, une plus vaste étude a testé les effets in vitro de matériel non dialysable sur l'inhibition de l'adhérence de 22 souches d'H. pylori spécifiques à du mucus humain et à une lignée de cellules gastriques humaines. Les données ont montré que l'adhérence spécifique à l'acide sialique d'H. pylori est inhibée par le matériel non dialysable dérivé de jus de canneberge. À une concentration de 0,2 mg/ml de matériel non dialysable, 12 souches ont été inhibées à plus de 75 %, 7 souches ont été partiellement inhibées de 35 à 74 % et seulement 3 furent faiblement inhibées. À nouveau, le détachement d'H. pylori du mucus et des cellules épithéliales n'a pas été observé, même à des concentrations aussi élevées que 100 mg/ml9.

Un test de respiration permet facilement de détecter la présence de cette bactérie. C'est de cette façon que les chercheurs ont identifié les sujets de leur étude et mesuré les résultats. Cette étude en double aveugle, randomisée et contrôlée contre placebo a enrôlé 189 adultes infectés par Helicobacter pylori. Ils ont été répartis en deux groupes de façon aléatoire, l'un recevant du jus de canneberge, l'autre un placebo. L'étude a duré 90 jours. Au bout de 35 jours, près de 14 % des participants ayant pris quotidiennement une boisson à base de canneberge étaient testés négativement à Helicobacter pylori contre 5 % dans le groupe placebo. Ces résultats suggèrent que la consommation régulière de jus de canneberge pourrait affaiblir Helicobacter pylori dans des populations infectées par cette bactérie de façon endémique10.

Une action possible sur la mémoire


Une équipe de chercheurs a examiné l'efficacité de jus de canneberge sur le fonctionnement neuropsychologique de personnes âgées dont la fonction cognitive était intacte. Dans cette étude en double aveugle, contrôlée contre placebo, 50 participants âgés de plus de 60 ans ont reçu de façon aléatoire quotidiennement un peu plus d'un litre d'un cocktail de jus de canneberge ou un placebo pendant six semaines. Les sujets ont subi une série de tests neuropsychologiques au début de l'étude et à nouveau au bout des six semaines.

L'analyse des tests n'a pas révélé d'interactions significatives entre le groupe prenant de la canneberge et celui sous placebo à travers tous les tests neuropsychologiques et les mesures utilisés dans l'étude. Cependant, les chercheurs ont noté une tendance non significative dans le questionnaire subjectif auto administré dans lequel deux fois plus de participants ayant pris de la canneberge que de ceux sous placebo ont évalué que leur capacité de mémorisation avait été améliorée à la fin de l'étude11.

Inhibition de la croissance de cellules cancéreuses


L'apport sanguin aux tumeurs malignes étant crucial pour la croissance du cancer, des chercheurs ont fait leur priorité de découvrir des traitements antiangiogéniques (qui stoppe l'apport sanguin à la tumeur) dans la bataille de la prévention et du traitement du cancer. De récentes études ont montré que certaines baies pourraient avoir de prometteuses et puissantes propriétés chimiopréventives et antiangiogéniques.

Des chercheurs du département de chimie et de biochimie de l'université du Massachusetts ont passé plusieurs années à étudier les effets de constituants de la canneberge sur des cellules cancéreuses. Ils ont constaté que lorsqu'ils étaient comparés à d'autres composants naturels, ceux de la canneberge inhibaient plus efficacement la croissance de cellules tumorales12. Ils ont également observé que comme antioxydant, la canneberge était aussi puissante que la vitamine E, voire même plus13.

Une récente étude réalisée par le département de physiologie et de pharmacologie de l'université de l'Ouest de l'Ontario au Canada a examiné l'effet d'un extrait de canneberge sur des souris auxquelles on avait injecté des cellules humaines de tumeur du sein. L'extrait de canneberge a diminué la croissance et les métastases de la tumeur. D'autres études faites sur des lignées cellulaires de tumeurs humaines incluant prostate, peau, cerveau, côlon, poumons et sein ont également indiqué que l'extrait de canneberge inhibait la croissance des cellules cancéreuses14. Un extrait de canneberge et les extraits de 5 autres baies ont été étudiés pour leurs propriétés antioxydantes et angiogéniques au laboratoire de médecine moléculaire de l'université d'État de l'Ohio. Tous avaient un effet antiangiogénique sur des cellules humaines de cancer de la peau et cet effet n'était pas partagé par d'autres antioxydants comme l'alpha-tocophérol15.


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1- Inhibition of bacterial adherence by cranberry juice: potential use for treatment of urinary tract infections, J. Urol., 1984, 131: 1013-1016.
2- Reduction of bacteriuria and pyuria after ingestion of cranberry juice, Journal of the American Medical Association, 1994, 271: 751-754.
3- Cranberry concentrate: UTI prophylaxis, J. Fam. Pract., 1997, 45(2): 167-168.
4- Randomised trial of cranberry-lingonberry juice and Lactobacillus GG drink for the prevention of urinary tract infections in women, British Med. J., 2001, 322: 1571-1573.
5- A randomized trial to evaluate the effectiveness and cost effectiveness of naturopathic cranberry products as prophylaxis against urinary tract infection in women, Can. J. Urol., 2002, 9(3): 158-1562.
6- A-type cranberry proanthocyanidins and uropathogenic bacterial anti-adhesion activity, Phytochemistry, 2005, Jul 28.
7- Cranberry improves function in damaged vessels, 35th Congress of the international union of physiological sciences, San Diego, Cal, April 2005.
8- A high molecular mass constituent of cranberry juice inhibits Helicobacter pylori adhesion to human gastric mucus, Fed. Euro. Microbiol. Soc., 2000, 29: 295-301.
9- Inhibition of Helicobacter pylori adhesion to human gastric mucus by high-molecular-weight constituent of cranberry juice, Crit. Rev. Food Sc. Nutr., 2002, 42 (Suppl): 279-284.
10- Efficacy of cranberry juice on Helicobacter pylori infection: a double-blind, randomized placebo-controlled trial, Helicobacter, 2005 Apr, 10(2): 139-45.
11- A double-blinded, placebo-controlled, randomized trial of the neuropsychologic efficacy of cranberry juice in a sample of cognitively intact older adults: pilot study findings, J. of Alt. & Comp. Med., Apr 2005; vol 11.2: 305-309.
12- Identification of triterpene hydroxycinnamates with in vitro antitumor activity from whole cranberry fruit (vaccinium macrocarpon), J. Agric. Food Chem., 2003 Jun 4, 51 (12): 3541-5.
13- Antioxidant activities and antitumor screening of extracts from cranberry fruit, J. Agric. Food Chem., 2002 Oct 9, 50(201): 5844-9.
14- A flavonoid fraction from cranberry extract inhibits proliferation of human tumor cell lines, J. Nutr., 2004 June, 134(6): 1529-35.
15- Anti-angiogenic property of edible berries, Free radic rese, 2002 Sept, 36(9): 1023-31.

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